|  Sujet: ; Cleo"Valentina ; play with me.  Ven 27 Mar - 21:42 | |
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w a l k i n g . o n . s u n s h i n e
| n o m ▬ Underwood;
p r é n o m ( s ) ▬ Cleophee, Valentina Esmée;
â g e ▬ Vingt-Six ans;
d a t e . d e . n a i s s a n c e ▬ Seize Juin;
o r i g i n e ( s ) ▬ Americaine et Italienne;
j o b ▬ Styliste pour la boutique Crytal Jeens;
g r o u p e ▬ Natural Disasters;
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t e l l . m e . m o r e
▬ mon plus grand rêve; devenir la nouvelle "coco chanel", en plus moderne évidemment. j'ai toujours été très admirative devant cette femme qui a révolutionné le monde de la haute couture. de plus, la boutique chanel est probablement ma préférée parmis toutes. quand j'étais encore sous la tutelle de mes parents, rare sont les week-end où je n'allais pas faire du shopping chez eux. j'en ai acheté des vêtements et des accesoires...
▬ je suis née à boston d'un père avocat américain et d'une mère d'une famille d'aristocrate italienne, j'ai donc jamais manqué de rien, au contraire, j'ai toujours eu tout ce que je voulais, je n'avais qu'à claquer des doigts et j'obtenais tout ce que je désirais. je n'ai jamais connu le manque même lorsque mes parents ont divorcés et que je suis partie vivre quelques mois en italie avec ma mère chez sa famille. de toute façon, elle s'est remariée quelque temps après à un riche homme d'affaire, alors je n'ai pas connu de période où on n'avait moins d'argent.
▬ je me repasse très souvent et pour une nénième fois le film que je vénère depuis mon adolescence, " moulin rouge ". je dois sûrement saôuler mes meilleurs amis à force de les "obliger" à le regarder avec moi, que voulez-vous, j'aime pas regarder un film toute seule, et c'est tripant de les voir réciter les phrases en même temps que les personnages les disent ( c'est pour dire qu'il l'ont vu super très souvent ). et puis faut bien avouer que la star qui joue christian chante merveilleusement bien et qu'il est trop beau.
▬ j'ai beau avoir vingt-six ans, je me comporte encore comme quand j'étais au lycée ou à l'université. je collectionne les relations d'un soir, les tours au bar. je n'arrive pas à réellement devenir adulte, toutes les responsabilités qui accompagne ce pallier me font peur et moi je souhaite tout simplement être libre, sans contrainte. qu'est-ce que je donnerais pour revenir quelques années en arrière, là où tout était, presque, parfait. j'étais riche, populaire ( non pas que ne le suis plus, mais cela ne veut plus dire la même chose ), je faisais ce que je voulais sans avoir peur des conséquences, j'étais jeune et inscousiente de ce qui m'entourait. maintenant c'est toujours la même chose, à quelques points près. tout simplement pour dire, que je ne suis pas prête à grandir, à avoir une relation sérieuse comme l'on certain de mon âge, à me marier et tout cette merdouille.
| ▬ je suis une grosse accro à deux choses : la première; le shopping. je ne peut me passer de faire les boutiques dès que j'ai le temps, un reste de mon adolescence qui reste collé à ma peau. et pourtant, j'essaye de me resteindre car je n'ai plus autant d'argent qu'avant, mais c'est trop dur, alors de temps en temps j'emprunte à ma chère maman qui se fait un plaisirs de m'en envoyer, malgré les réticences de mon beau-papa, je vous ai dit que je ne pouvais pas le saquer celui-là ? mais bon, si je fais style je l'apprécie, c'est simplement pour ma mère. et la deuxième chose; la glace au cassis. je passe mon temps à en manger, j'en suis accro depuis toute petite et c'est comme une drogue. mon cauchemar, la disparition de tous mes pots quand j'en ai envie.
▬ je vis actuellement avec ma meilleure amie, ma soeur de coeur, satine et notre meilleur ami, mon grand-frère en quelque sorte, nolan. et on a beaux être des adultes, c'est sans cesse la cour de récréation chez nous. notre spécialité, la bombe de mousse à raser. oui, on est des grands enfants, j'avoue, mais on adore tellement ça. mais c'est quand même grâce à eux que je suis là où je suis, c'est eux qui m'ont donné la force de ne pas finir à la charge de ma mère pour le restant de ma vie.
▬ la personne que je dois le plus haïr, que je ne peut même pas voir en peiture, c'est l'autre abruti de calvin monaghan. le bouffon. franchement il est tellement prétentieux, orgueilleux et j'en passe. c'est pas parce qu'il a eu une enfance pas facile qu'il doit se montrer si méprisant, si détestable. et le pire c'est qu'il croit qu'il peut tout se permettre avec moi, j'halucine. heureusement que sa soeur n'est pas comme lui.
▬ en parlant de la miss, c'est elle qui est mon assistante chez crytal jeens, la boutique où je suis la nouvelle styliste. j'ai été répéré lorsque je vendais mes quelques créations au centre commercial. après quoi tout c'est vite enchainé et j'ai été engagé pour créer des vêtements pour la boutique. ma petite ''ligne de vêtements'', si on peut appeler cela comme ça, s'appelle ; CLEO'&.
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a n g e l . o r . d e v i l ?
▬ fétarde . espiègle . joueuse . séductrice . charismatique . audacieuse . attachante . directe . originale . ouverte d'esprit ;
(très)jalouse . méfiante . obstinée . impulsive . curieuse . arrogante . dépensière . impatiente . lunatique . orgueilleuse.
i f . y o u . w e r e . . .
u n . f i l m ▬ Moulin Rouge;
u n e . c h a n s o n ▬ Poker Face de Lady GaGa;
u n . l i v r e ▬ Le songe d'une nuit d'été de Shakespeare;
u n . a n i m a l ▬ Une Panthère noire;
u n . n o m b r e ▬ Le neuf;
u n . j o u r . d e . l a . s e m a i n e ▬ Le Samedi;
| u n e . c o u l e u r ▬ Le Rouge;
u n e . a u t r e . p e r s o n n e ▬ Ma Darling, Satine;
u n . p e r s o n n a g e . d e . d e s s i n . a n i m é ▬ Anastasia;
u n . o b j e t ▬ Mon pendentif;
u n . p a r f u m . d e . g l a c e ▬ Cassis;
u n . p a s s e - t e m p s ▬ Faire du Shopping;
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b e h i n d . t h e . s c r e e n
p s e u d o ▬ *}E meraude
â g e ▬ 14 Ans.
a v a t a r ▬ Notre Blair adorée, Leighton Meester
o ù . a s . t u . c o n n u . l e . f o r u m ? ▬ Par une recherche d'Estelle sur PRD
c o m m e n t . l e . t r o u v e s . t u ? ▬ MAGNIFIQUE && GENIAL 
a u t r e . c h o s e ? ▬ « lotus, lotus, la force du mucus » 
e x e m p l e . d e . r p ▬- Spoiler:
Me retrouvais là, à côté de celui avec qui j'avais passé tant de temps quand on était encore que deux gamins, des gamins heureux et inséparables, dont aucun problème n'avait de conséquences sur nos vies, où les études et la popularité n'avait pas encore de sens pour nous. Par ailleurs, aussi loin que je me souvienne, on avait toujours été énormément proches, on se comprenait sans prendre la peine de se dire un seul mot, ni de faire un seul geste, une ressemblance sur tous les points nous unissaient, à part le fait que lui soit, un garçon et moi, une fille. On est restés huit années sous le même toit, huit années avec les mêmes amis, huit années à passer une énorme partie de nos journées l'un avec l'autre, huit années à s'amuser au dépens de notre jeune frère, Jason, âgé de deux ans de moins que nous, on était très coquins et très joueurs avec lui, il était si adorable et si mignon à ses cinq, six ans. Vous trouvez que c'est plutôt court comme années de communes, non ? Moi, pas. Je les ai trouvés longues, mais pas dans le sens que ce mot aurait, par exemple : En qualifiant un cours de '' long '', ce qui signifierait qu'on l'a trouvé ennuyeux et inintéressant. Non, plutôt dans le sens, incroyablement '' magique '' et '' inoubliable '', je pourrais même dire que cela a été mes meilleures années de toute ma vie, même si j'espère, un jour, en avoir de pareille, ces huit années de mon enfance resteront gravées dans ma mémoire pour toujours !
Je n'ai pas eu à attendre des décennies pour qu'Aaron réponde, car des mots sortirent de sa bouche à peine quelques secondes après que j'ai moi-même exécuté cette action.
« Quelle grande nouvelle ! Tu sais quoi ? J'crois que je vais écrire un livre pour raconter ça. »
Toujours aussi drôle celui-là sincèrement (--' xd). Non, sérieusement, de l'ironie de sa part m'étonnait qu'à moitié, une partie me disais, qu'autrefois, il n'utilisait ce procédé que très peu de fois quand il s'adressait à moi, il préférait le faire en présence d'un quelconque individu qu'il n'appréciait que très peu et j'aurais pu prendre ça comme le fait qu'il... ne m'appréciait plus ? Non, tout de même pas... J'espère. Et de l'autre, je le comprenais, ça faisait si longtemps qu'on ne s'était pas reparler, que c'était difficile de s'y prendre comme avant pour engager de nouveau la conversation. Autrefois, un sourire et quelques mots d'humour échangeaient suffisait largement, maintenant, il semble que cela ne soit plus le cas. J'aimerais pourtant que notre complicité redevienne telle qu'elle était avant, quand on se disait tout, quand j'allais mal et qu'il était toujours là pour me réconforter comme un grand-frère, quand je m'amusais à le taquiner sur les - déjà - quelques filles qui cherchaient à attirer l'intention du jeune homme sur elles. Notre relation était construite, entre autre, de gaminerie et de taquinerie d'enfants.
Dans mes moments de solitudes quand j'habitais dans l'immense appartement situé en plein centre- ville avec maman, j'ai souvent repensé à la vie que je menais quand la famille était encore unie, la famille composée de papa && de maman heureux et bien ensembles et de Aaron, Jason et Moi. J'en ai même quelquefois eut les larmes aux yeux tellement je me sentais mal et comme à mon habitude, je n'avais pas le courage de téléphoner à Aaron ou même à Jason, qui, même s'il était très jeune et n'aurait pas put me réconforter comme Aaron l'aurait pu, entendre sa voix m'aurais suffit. Heureusement que maman eut la bonne idée de me faire changer d'air en m'envoyant en pensionnat, là-bas, je réussissais à penser moins à ce manque qui existait en moi.
Mais revenons dans le présent, moi, en face d'Aaron, je devais lui répondre quelques choses && même si toutes ces pensées semblent durées une éternité, il ne s'écroule que très peu de secondes avant que lui réplique une parole avec humour décalé.
-" Et je serais même la première à l'acheter, tu me le dedicacera, hein ? Genre : A ma jumelle oubliée mais grâce a qui, l'idée de faire un libre m'est venu. Ca sonne plutôt bien, non ?
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